Points de vue sur L'IMPORTANCE DU CHAN SOUDAN 2011
Le Championnat d’Afrique des nations (Chan) en est à sa 2e édition après la 1ère en 2009. Cette compétition, dernière née de la Caf, est déjà très apprécié par les entraîneurs, notamment ceux dont les sélections ont pris part à Soudan 2011.
Bobby Williamson, sélectionneur de l’Ouganda
«Le Chan a été une bonne préparation pour les équipes participantes dans la perspective de la prochaine journée des éliminatoires de la Can 2012. Je peux déjà indiquer qu’à peu près cinq joueurs de cette équipe intègreront l’équipe A»
Emmanuel Ndoumbé, sélectionneur du Cameroun
«Le niveau a été très élevé. Pour la majorité de mes joueurs c’est une opportunité d’étaler leur talent aux yeux du monde. C’est une bonne initiative pour de nombreux joueurs qui n’ont pas toujours l’opportunité d’évoluer avec l’équipe première et qui bénéficie là d’une occasion pouvant favoriser leur intégration»
Amadou Diallo, sélectionneur du Mali
«Le Chan est une très bonne initiative et les organisateurs méritent d’être salués. Beaucoup de jeunes joueurs ont gagné de l’expérience en participant à ce tournoi. Avec ce tournoi l’avenir du football africain est radieux».
Sellas Tetteh, sélectionneur du Rwanda
«Ceux qui ont moqué ou combattu l’idée doivent se raviser. C’est une très bonne initiative pour l’évolution du football africain. Mon équipe était pratiquement la même que la sélection A et l’expérience a été vitale.
Mohamed Abdallah, sélectionneur du Soudan
«Le Chan est positif pour le football africain. Pour le Soudan, il a permis le développement des infrastructures sportives. A travers ce tournoi le peuple soudanais est apparu uni et c’est une très bonne chose pour le développement national»
Simon Ngomane, sélectionneur d’Afrique du Sud
«La Caf doit être félicitée pour cette idée. Ca fait partie du processus de développement et ce n’est que comme çà que le football peut être développé sur le continent».
Madinda Ndlovu, sélectionneur du Zimbabwe
“Le Chan a servi de préparation à mon équipe pour les Jeux africains. L’expérience a été positive avec des adversaires divers et ayant des backgrounds différents»